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Catalogue de publications

272 résultats trouvés

  1. Water Quality in the Fluvial section - Physicochemical and bacteriological parameters, 4th edition

    The quality of the St. Lawrence is rated as intermediate to good for the period from 2012 to 2014: The water quality is good at 52% of the 27 monitoring sites. There was little change in the situation between 2000 and 2014: The percentage of sites with good or satisfactory quality fluctuated at around 81%, while the percentage of sites with poor or very poor quality went from 13% on average between 2000 and 2007 to 8% on average between 2008 and 2014. Upstream from Montréal, the water quality is good, but further downstream, between Varennes and Sorel, it is deteriorating significantly in the navigation channel and the water mass north of it, i.e. the water masses affected by wastewater discharges by the Montréal, Longueuil and Repentigny wastewater treatment plants. This degradation is caused by bacterial contamination from these municipalities that do not disinfect their wastewater prior to discharge into the river. The bacteriological quality improves in Lake Saint-Pierre and becomes satisfactory downstream. The quality of the water mass flowing south of the navigation channel is good or satisfactory all along the river corridor since the navigation channel acts as a barrier preventing the spread of bacteriological contamination. The water quality at all sampling stations in the Québec City region is good or borders on good.

    • Serge Hébert
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  2. La qualité de l'eau du secteur fluvial - Paramètres physicochimiques et bactériologiques (4e édition)

    Pour les années 2012 à 2014, la qualité du Saint-Laurent est jugée dans un état intermédiaire à bon : 52 % des 27 sites de suivi présentaient une eau de bonne qualité. Entre 2000 et 2014, la situation a peu évolué : le pourcentage de sites de qualité bonne ou satisfaisante a fluctué autour de 81 %, alors que le pourcentage de sites de mauvaise ou de très mauvaise qualité est passé de 13 % en moyenne entre 2000 et 2007, à 8 % en moyenne entre 2008 et 2014. En amont de Montréal, la qualité de l’eau est bonne, mais, plus en aval, entre Varennes et Sorel, elle se détériore d’une façon importante dans le chenal de navigation et dans la masse d’eau au nord de celui-ci, c’est-à-dire dans les masses d’eau affectées par les rejets des stations d’épuration de Montréal, de Longueuil et de Repentigny. Cette dégradation est causée par la contamination bactériologique provenant de ces municipalités qui ne désinfectent pas leurs eaux usées avant leur rejet au fleuve. La qualité bactériologique s’améliore dans le lac Saint-Pierre pour devenir satisfaisante en aval. La masse d’eau s’écoulant au sud du chenal de navigation affiche quant à elle une qualité bonne ou satisfaisante tout le long du corridor fluvial, le chenal de navigation agissant comme une barrière empêchant la propagation de la contamination bactériologique. Dans la région de Québec, toutes les stations d’échantillonnage présentent une eau de bonne qualité ou à la limite de cette classe.

    • Serge Hébert
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  3. Concentrations de médicaments, d’hormones et de quelques autres contaminants d’intérêt émergent dans le Saint-Laurent et dans trois de ses tributaires

    De 2006 à 2010, Environnement Canada et le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques (MDDELCC) ont échantillonné l’eau du fleuve Saint-Laurent et de 3 de ses tributaires pour y mesurer les concentrations de médicaments, d’autres produits de soins personnels, d’hormones et de quelques autres contaminants émergents, comme le triclosan et le bisphénol A. Au total, 44 substances ont été analysées dans des échantillons provenant de 11 sites d’échantillonnage, répartis de Carillon, sur l’Outaouais, à Québec. Parmi les 44 substances analysées, 21 ont été détectées à des concentrations de l’ordre du ng/L. On constate que le nombre et les concentrations de produits détectés sont plus élevés en aval ou à proximité des agglomérations urbaines de Montréal, de Québec et de Trois-Rivières. En général, les concentrations obtenues sont comparables ou inférieures à celles mesurées dans d’autres cours d’eau en Amérique du Nord ou en Europe. Ces concentrations sont inférieures à celles qui peuvent causer de la toxicité aiguë ou chronique, comme celle que l’on mesure avec des tests de toxicité standardisés, mais cela ne doit pas être considéré comme une preuve d’innocuité des substances en cause. En effet, des études récentes démontrent que des produits pharmaceutiques, présents dans l’eau en faibles concentrations, peuvent avoir certains effets sur les organismes aquatiques exposés.

    • David Berryman, Myriam Rondeau et Véronique Trudeau
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